Presse Internationale -- U.S.A.


Cadence Review june 2003
Juin 2003 ; Volume 29 N°6 p.124


Reviews

Nelly Pouget

" Le Waw"

3) NELLY POUGET, LE WAW, MINUIT REGARDS 13502.
Korrig Ange/ Le Waw / À Jean / Arobase 2000 / No More Death Penalty / Gopitchang / Sourire / Amour Retrouvé. 55:21.
Pouget, as, ss, ts, gopitchang, vcl; Maurice Clément, org. Sept. 7 2002, France.

[...] Finally there is French reed player Nelly Pouget, who in [Le Waw] has taken the most unlikely of instruments, the Grand Pipe Organ at the Chapelle Sainte-Marie in the College of Antony, and made Jazz with it. Now this sounds, as a concept, like a ponderously un-swinging idea. But in Maurice Clement she has found an organist with a light touch and totally original ideas. We do get the resonant sound of the cathedral, and the overwhelming bass pedaIs are there too, rattling the floors. At times, the compositions are reminiscent of the Messiaen organ pieces, because of their wide open and aIlencompassing tonality, but Pouget primarily on soprano sax pours forth streams of melody over the organ in the tradition of, if not the style of, Bechet. She does use a tenor and an alto, and on "Gopitchang" she includes a solo on that Timorese stringed instrument, but [Le Waw] is Iargely the amazing pairing of that organ with her fine, expansive soprano. In fact, there is only one slipup on [Le Waw] when, on part of one track, Pouget vocalizes her protest against the death penalty. While for this listener, I felt like her heart was in the right place, her chanted ire at capital punishment seemed an ineffective distraction on an otherwise remarkable recording. In fact, this is the sort of expansive and revelatory work we all have come to expect from the best of European Jazz.

Philipp McNallyo

[...] Enfin il y a la saxophoniste française Nelly Pouget, qui en [Le Waw] a pris le plus improbable des instruments, le Grand orgue à tuyaux de la Chapelle Sainte-Marie du collège d'Antony, et fait le jazz avec. Maintenant ceci sonnerait, en concept, comme une idée ennuyeuse et sans tempo. Mais dans Maurice clément elle a trouvé un organiste avec un toucher léger et des idées totalement originales. Nous entendons les résonnances de la cathédrale, et les pédaIes basses irrésistibles sont là aussi, cliquetant le sol. Parfois, les compositions sont réminiscentes des morceaux d'orgue de Messiaen, en raison de leurs tonalités grandes ouvertes et toutes contenues, mais Pouget principalement sur le sax soprano verse en avant des jets de mélodie au-dessus de l'orgue dans la tradition, plutôt que dans le style, de Bechet. Elle utilise le ténor et l'alto, et sur "Gopitchang" elle inclut un solo sur cet instrument à corde du Timor, mais [Le Waw] est largement l'appariement stupéfiant de cet orgue avec son soprano fin et expansible. En fait, il y a une seule bévue sur [Le Waw] quand, sur une partie d'une piste, Pouget vocalise sa protestation contre la peine de mort. Bien que pour cette audition, j'ai ressenti comme si son coeur étais au bon endroit, son ire chantée vers la punition capitale m'a semblé une distraction inefficace sur un enregistrement autrement remarquable. En fait, c'est cette sorte de travail expansible et révélateur que nous devons tous attendre du meilleur du jazz européen.

Trad. Minuit Regards, assistée de
Service de traduction BabelFish d'Alta Vista
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